Rien de tel pour se pourrir une journée que d'aller à la poste de Télégraphe. Personnel n'aimant pas son travail et n'ayant envie que d'une seule chose, le quitter au plus tôt. Tout commence par une petite contrariété, celle de voir votre courrier non distribué alors que vous êtes certain de la validité de son adresse (voir ci-dessous). Vous allez à la poste, faîtes une heure de queue, pour au final vous entendre dire : "désolé on ne peut rien faire pour vous, vous avez dû vous trompé d'adresse". Et là vous vous faîtes la réflexion, une fois que vous avez retrouvé votre calme, qu'il serait temps que l'on trouve une alternative à ce genre d'endroits qui ne produisent que du malheur, et pour ceux qui y travaillent et pour ceux qui les fréquentent. Alors si vous voulez passé une mauvaise journée où voir des gens malheureux, une seule adresse : la poste de Télégraphe. Maintenant à chaque fois que j'ai un souci, je me dis ça pourrait être pire , je pourrais être à la poste de Télégraphe.
http://www.dailymotion.com/relevance/search/dany+boon/video/x20rrn_dany-boon-la-poste_fun
Rédigé par : JOUJOU DE PARIS | 27 août 2007 à 16:14
petite dedicace au postier de la rue du Télégraphe ressemblant a Jésus LOL
Rédigé par : stuo3 | 27 août 2007 à 13:48
Je te conseille d'aller essayer celle de la rue des Archives, 2 guichets ouverts donc un reservé au carte pro...... je te laisse deviner la suite!
Rédigé par : franck | 24 août 2007 à 04:03
C'est horrible !!! Mais le plus navrant dans cette histoire c'est que ce sont la majorité des postes qui sont comme ça ...
De plus, ce qui est rageant c'est que l'adresse est bonne !!!
Cependant, j'ai été très surpris de lire ce post sur le blog d'Etapes : on y apprend, entre autres, que la virgule après le numéro de voie est en fait une habitude bien à nous. En fait, il faut l'éviter à tout prix car la poste ne traite pas, sur les adresses, les virgules, trait-d'union et apostrophe ... souvent le courrier prend du retard ou et carrement renvoyer à l'expéditeur !
http://www.etapes.com/blog/?q=node/563
Rédigé par : Clem | 26 juillet 2007 à 12:12